Conseils des Maîtres aux enfants

La chorale la “Voix des anges” est composée d’enfants. Elles s’entraîne depuis 6 années sous la direction de Maestro Marc Emmanuel. Regrouper des enfants, leur apprendre à chanter et surtout” bien chanter” n’est pas facile. Mais Marc Emmanuel est sur le point de gagner son pari. Le dimanche 18 juillet 2021, La Voix des Anges était à l’honneur à la messe de 11 H en l’église de la Sainte Famille de la Riviera 2 à Cocody.

Le père Herman Teki part à Renne

Le père Herman Teki part à Renne

Après avoir servi 3 années comme vicaire du père Abekan Norbert Eric, à la paroisse de la Sainte Famille de la Riviéra2, le père Herman Teki pose sa valise à Renne en France.

Père Herman Teki : « Pendant trois années nous avons connu la chaleur humaine des familles. Les laisser pour partir crée en nous un sentiment de tristesse. Pour le Seigneur il faut pouvoir faire ce pas. Que chacun de nous puisse recevoir cette consolation de Dieu. Prions pour les uns et les autres afin que cette séparation soit moins douloureuse »

Brou Konan Aubin: le métier de journaliste me plaît

Brou Konan Aubin. Ce jeune est de Daoukro. Il est intéressé par le métier de journaliste. Il est en classe de première dans un collège privé de Daoukro. Aubin est issu d’une grande famille. Son père a épousé 3 femmes. Au total le jeune collégien a 21 frères et sœurs. Sa famille est tellement large qu’Aubin n’a pas en tête le nom de chacun de ses frères et sœurs. Il m’a simplement fait comprendre que ses frères n’avaient pas achevé leurs études et qu’ils se “débrouillaient ” dans la plantation ou faisaient de petits métiers en ville. Je lui ai fait comprendre que le métier de journaliste ne rapporte pas d’argent. J’ai également ajouté qu’il devait s’orienter dans des études courtes et pratiques comme la maçonnerie, l’électricité. J’ai aussi rencontré une jeune dame venue de Zouénoula pour participer aux obsèques de son père. Ce dernier, planteur, avait 6 femmes et 48 enfants. A l’analyse, la polygamie se justifie. Les parents avaient de grands espaces à mettre en valeur. Ne disposant pas de machine, ils s’entouraient de nombreuses épouses qui mettaient au monde une pléthore d’enfants pour les aider dans la plantation. Une analyse qui n’écarte cependant pas l’aspect affectif de la relation. Post du 18 juillet 2021. Ano Nianzou

Souvenirs de Daoukro

Parti à Daoukro le vendredi 9 juillet 2021, je suis revenu à ma base à Abidjan le lundi 12 juillet 2021. Le dimanche 11 juillet, les deux présidents se sont à nouveau rencontrés à Bedié-kro, c’est-à-dire le campement de Bédié. Son village. Son origine. Cette rencontre était fermée à la presse. J’ai fait analyse sur analyse  pour voir si je ne pouvais pas rôder dans les environs de Bédié-kro pour jouer au paparazzi. Tout compte fait, j’ai respecté les consignes. Emprunter un taxi-brousse pour faire 45 Km. Se cacher dans un maquis du village. Faire le gué. C’était difficile après la longue journée d’attente du dimanche à la résidence d’Henri Konan Bédié. J’y suis arrivé à 10h pour ne repartir qu’à 19 h.

J’avais bien fait d’adopter la position du flemmard. Une fois sorti du lit, je me suis rendu dans un kiosque à café pour prendre le petit déjeuner : du pain fendu avec œuf au plat et margarine à l’intérieur. Je voulais du lait non sucré. L’homme du kiosque n’en vendait pas. J’ai visité la ville : le restaurant-maquis, le salon de coiffure, la paroisse. Le curé était absent. Le vicaire, un jeune séminariste m’a bien accueilli. Mais il ne m’a donné les informations qui m’intéressaient. Il s’est excusé et m’a demandé d’attendre l’arrivée du père curé.

Je garde un bon souvenir de Daoukro

Ano Nianzou .Post du 17 juillet 2021

Des milliards pour des travaux bricolés

9 Kilo, Cité Allabra réconciliation : que de souffrances !
Les fortes pluies en ces mois de juin-juillet ont replongé les habitants dans la souffrance. Il est vrai, le niveau d’inondation de Juin-juillet 2018 n’a pas été atteint. Il n’y a pas eu de personnes emportées par les eaux, mais les pluies diluviennes ont cassé des clôtures et pénétré dans les domiciles mettant à sac les biens des habitants. Quelques locataires venus nouvellement s’installer dans le quartier, ont abandonné les maisons qu’ils venaient de louer.
L’histoire de ces inondations devenues récurrentes d’une année à l’autre montre le manque de professionnalisme des hommes d’affaires qui obtiennent ces gros marchés de l’état. Ils se chiffrent en milliards. Cependant une fois le chantier achevé, se dévoile l’amateurisme des entrepreneurs. Rien n’a changé. L’eau contourne les caniveaux devenus subitement trop petits et s’écoulent dans les maisons. Pourtant des résidences ont été préalablement détruites sous le prétexte qu’elles barrent le passage des eaux pluvieuse. Depuis les grandes inondations de 2018, 2020 les populations attendent un minimum d’aide du pouvoir. Mais en vain !

Les fortes pluies en ces mois de juin-juillet ont replongé les habitants dans la souffrance. Il est vrai, le niveau d’inondation de Juin-juillet 2018 n’a pas été atteint. Il n’y a pas eu de personnes emportées par les eaux, mais les pluies diluviennes ont cassé des clôtures et pénétrées dans les domiciles mettant à sac les biens des habitants. Quelques locataires venus nouvellement s’installer dans le quartier, ont abandonné les maisons qu’ils venaient de louer.

L’histoire de ces inondations devenues récurrentes d’une année à l’autre montre le manque de professionnalisme des hommes d’affaires qui obtiennent ces gros marchés de l’état. Ils se chiffrent en milliards. Cependant une fois le chantier achevé, se dévoile l’amateurisme des entrepreneurs. Rien n’a changé. L’eau contourne les caniveaux devenus subitement trop petits et s’écoulent dans les maisons. Pourtant des résidences ont été préalablement détruites sous le prétexte qu’elles barrent le passage des eaux pluvieuse. Depuis les grandes inondations de 2018, 2020 les populations attendent un minimum d’aide du pouvoir. Mais en vain !

9 Kilo, Cité Allabra réconciliation : que de souffrances !

Les fortes pluies en ces mois de juin-juillet ont replongé les habitants dans la souffrance. Il est vrai, le niveau d’inondation de Juin-juillet 2018 n’a pas été atteint. Il n’y a pas eu de personnes emportées par les eaux, mais les pluies diluviennes ont cassé des clôtures et pénétrées dans les domiciles mettant à sac les biens des habitants. Quelques locataires venus nouvellement s’installer dans le quartier, ont abandonné les maisons qu’ils venaient de louer.

L’histoire de ces inondations devenues récurrentes d’une année à l’autre montre le manque de professionnalisme des hommes d’affaires qui obtiennent ces gros marchés de l’état. Ils se chiffrent en milliards. Cependant une fois le chantier achevé, se dévoile l’amateurisme des entrepreneurs. Rien n’a changé. L’eau contourne les caniveaux devenus subitement trop petits et s’écoule dans les maisons. Pourtant des résidences ont été préalablement détruites sous le prétexte qu’elles barrent le passage des eaux pluvieuse. Depuis les grandes inondations de 2018, 2020 les populations attendent un minimum d’aide du pouvoir. Mais en vain !

Ano Nianzou .Post du 16 juillet  2021

Rien n’a changé. L’eau contourne les caniveaux devenus subitement trop petits et s’écoule dans les maisons.

Le quartier Allabra Réconciliation offre l’image d’une ville en guerre. Les habitants ont investi dans l’achat de sacs de sable pour protéger murs et portails

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Mme Badois Odile

Je m’appelle Badois Odile. Je vends des produits de santé. Surtout de la pulpe d’aloès qui contient trois grands produits essentiels. Ces différents produits nettoient, regénèrent et stimulent

Pied de mouton n’est pas bon

J’ai commencé a écrire un livre sur mes voyages dans mon pays: les personnes que je rencontre , leurs comportements et surtout ce que je retiens d’elles. Leurs propos et leurs façons de faire me paraissent surprenantes. Mais je me comprends. Je vis enfermé dans une bulle sociale de sorte que des situations totalement “normales” paraissent anormales sous mon regard

Pied de mouton n’est bon” m’a été inspiré par le quotidien dans une gare routière

J’ai fini mon reportage sur Daoukro. J’ai préféré passer une troisième nuit à l’hôtel et quitter la ville par le premier car qui démarre à 6 h30.

La veille j’avais hélé un taxi pour lui demander de venir me chercher à 6h a mon hôtel. Il a non seulement acquiescé mais il m’a donné l’assurance d’être stationné devant l’hôtel des 5 H du matin. A l’heure dite, j’ai sorti mes valises, le chauffeur n’était pas là. Après une trentaine de minutes d’attente, j’ai emprunté un autre taxi pour me conduire à bon port.

Des jeunes « chargeurs » se débattaient pour embarquer un bélier de dimension impressionnante dans le volumineux coffre du car : « Mouton là est trop musclé. Si tu prends son pied c’est pas bon ». Chacun a compris le message et s’est éloigné du bélier. Il y a des scènes dramatiques où bœufs et montons se soulèvent, brisent les cordes et pourchassent les passants, provoquant des accidents graves. Quand ces cas se produisent le propriétaire de l’animal prend la poudre d’escampette pour éviter les tracasseries policières et administratives. Un mouton n’a pas d’assurance !

Je me suis installé sur un siège prêt de la vitre. Je pouvais voir villes  villages et campements. Une maman d’un certain âge s’est assise sur le siège collé au mien. Très autoritaire, elle a exigé que je range bien mes jambes à ma place afin qu’elle puisse elle aussi s’installer confortablement sur son siège. J’ai suivi ses désidératas. Elle avait raison. Il est normal que chacun respecte les normes. Tout allait bien durant les trente premières minutes du voyage. Puis elle a plongé dans un profond sommeil. Du coup mon épaule est devenue son oreiller. J’étais pris en sandwich entre la vitre et la dormeuse. J’ai beau secoué mon épaule, poussé sa tête, la dormeuse dormait à l’aise. Deux heures plus tard, un coup de frein sec du car, a coupé son sommeil : « On est déjà arrivé à Abidjan ? M’a-t-elle demandé »

J’étais en colère. Un peu courbaturé par ma position inconfortable. Je ne lui ai pas répondu.

Un passager  avait un besoin pressant : « Chauffeur, il faut arrêter. Je veux faire pipi ». Le conducteur a fait la sourde oreille. Il a renouvelé à haute voix sa demande. Pas de réaction du côté du conducteur. Cette fois le demandeur s’est levé de son siège pour aller vers le conducteur : « Mon petit tu conduits ambulance ou quoi ! Depuis je dis que je veux faire pipi tu ne t’arrêtes pas. Si je pisse dans ton car, tu vas dire quoi ? ». En fait tout le long de la ligne Daoukro-Abidjan, il n’est prévu qu’une seule pause-pipi à la sortie d’Adzopé non loin du barrage des forces de l’ordre. Les véhicules s’y arrêtent pour les contrôles de routine. C’est aussi l’occasion de remettre une petite contribution participative aux agents des forces de l’ordre. C’est un rituel. Pendant les tractations et conciliabules entre conducteurs et forces de l’ordre, les passagers descendent du car pour aller dans la broussaille.

Collé à la vitre, je regardais le paysage. Chaque village, chaque campement avait sa réplique. Si l’on traverse Kotobi1, le Kotobi des vivants, on passera nécessairement par Kotobi2, qui est le cimetière. Apparemment, les morts ne veulent pas vivre dans l’éternité loin des siens et de  leurs maisons. Pour le reste du voyage, ma voisine réveillée, a poussé un ouf de soulagement : « Le petit sommeil que j’ai eu a fait que le voyage n’a pas été long. ». J’avais envie de lui dire que le voyage a été pénible pour moi parceque  j’ai porté  son poids sur mon épaule gauche, de ce fait, je  descendrai du car une partie de mon corps endolorie. Il nous restait une bonne heure de route. Elle a sorti de son sac son téléphone portable pour me montrer la photo de son père : il venait d’avoir 90 ans. Il continuait de se déplacer à vélo pour se rendre à la plantation. Elle a terminée son histoire par la mésaventure que son vieux a eue: toute sa récolte d’igname produite a été chapardée par des gens de mauvaise moralité. Le vieux n’a rien dit. Il a simplement confié les auteurs du vol à Dieu. J’ai répondu Amen et je me suis assoupi. C’est à la grande gare d’Adjamé Renault que me suis réveillé. Je me suis aussitôt précipité vers les coffres à bagages. J’ai récupéré mes deux valises bleues. L’une contenait le matériel technique de prise de vue. L’autre, mes vêtements. Un jeune, les a chargés dans sa brouette. Il m’a trouvé un taxi. Parti de Daoukro à 6h30 je suis arrivé à la maison à 13 h.

Nianzou Ano , post du 11 juillet 2021

Expo-vente d’ouvrages sacrés

Il y a eu en juin 2021 une exposition vente de livres sur la religion dans la grande cours de la paroisse de la Sainte Famille de la Riviera2. Les paroissiens avaient le choix entre livres de contes et des ouvrages écrits par les prêtres