Un chef coutumier…

Pour assister au mariage de sa nièce un chef coutumier s’est déplacé à la mairie habillé de tous ses attributs vestimentaires

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Mes filles m’ont entrainé au MUCAT

Mes filles Sharmella et Eunice m’ont entrainé au MUCAT. J’ai hésité avant de les suivre. Une fois sur place à Abobo, mes yeux étaient rivés sur la beauté des œuvres exposées

j’ai admiré l’œuvre de Carine Mansan sur l’afrofeminisme. Elle vient de Bassam.Ses figurines sont un hommage sa mère, adoratrice de la Vierge Marie Noire. Je vous conseille de faire un tour au MUCAT, à Abobo.

Reportage de Ano Nianzou

Merci à Maître Thierry Licane

Dame Ekpalè Adjo a été inhumée le 28 mai 2020. Tous ses biens y compris sa carte d’identité ont été récupérés par Maître Effi et sa génitrice. Tous ses ayants-droits n’ont obtenu la moindre aiguille de l’héritage de leur mère et grand-mère défunte! Mme Harvey Rosine a fait des réclamations auprès de Nanan Yvon chef d’Assinie Sagbadou et auprès du Sous-Prefet d’Adieké . Elles sont restées sans suite. Les preuves sont là. Où est la diffamation?

Maître Serge Effi affirme ne pas regarder les publications sur les réseaux sociaux. Hélas! il a lui-même un compte Facebook où sa photo était affichée sur sa page d’accueil

Je vais commencer  mon post par remercier notre Avocat Maître Thierry Licane. Il a pris de son temps pour nous recevoir et nous écouter. Nous lui expliquons tout en vrac. Il nous aide à faire le tri pour mettre en avant ce qui est nécessaire à notre défense. Il est posé et il pose des questions précises à Maître Serge Effi. Les réponses de ce dernier sont vagues : « Avez-vous participé à la démolition de la maison de Laurent Ridet ? » « Non je n’étais pas là. J’étais dans mon bureau à Abidjan. C’est une décision de justice qui autorisait la destruction de la maison » répond hésitant et chancelant « l’avocaton ». J’ai la grosse du tribunal entre les mains. Il n’est mentionné nulle part que Serge Effi et sa mère étaient autorisés à détruire la demeure du professeur Laurent Ridet d’autant qu’ils ne disposaient pas de lettre d’attribution foncière sur le terrain. Ensuite la cocoteraie est objet  à litige devant les tribunaux. Enfin Dame Rosine Harvay, ayant-droit de feue Ekpalè Adjo avait son mot à dire. Depuis l’inhumation de sa mère Ekpalè Adjo, le 28 mai 2020,  Maître Serge Effi a purement et simplement dépouillé celle-ci de la moindre aiguille y compris sa carte d’identité. Pour vous permettre de comprendre comment fonctionne « l’avocaton », je prends un exemple tiré de l’actualité. Ces temps-ci l’Ukraine est bombardé de tous les côtés. Nul n’a vu  Poutine dans le cockpit  d’un avion de guerre détruisant L’Ukraine. Cependant tout un chacun affirme que Poutine bombarde L’Ukraine parceque les ordres viennent du Kremlin ! Maître Serge Effi a fait détruire la maison du Français et a pris la poudre d’escampette. Affirmer cela n’est pas de la diffamation mais les faits tout simplement

Si nous devons écoper de 12 mois de prison et une amende parceque  nous affirmons sur les chaînes des réseaux sociaux que «  Maître Serge Effi a détruit la maison de Laurent Ridet », cela constituera pour nous une nouvelle  leçon  sur les vicissitudes de la vie : un monde où celui qui doit aller en prison est en liberté et celui qui doit être en liberté est en prison !

Ano Nianzou

Histoire d’un ” avocaton ” menteur

Je vais vous relater quelques tranches du procès en diffamation jugé le 8 avril à 8 h au palais de justice  d’Abidjan : l’avocaton Sege EFFI a posé des actes violents, méchants, injustifiables  qui se sont traduits par la démolition de la résidence de Mr Laurent Ridet, installé depuis de longues années à Krowasuazu. Le choc lié à la destruction des biens du professeur a été  dur d’autant que ce dernier a perdu la vie par la suite. Je précise que Laurent Ridet avait gagné son procès en première instance. Serge Effi a fait appel. Il a gagné à son tour.

Laurent Ridet a expliqué à ses voisins qu’il irait en cassation pour faire prévaloir ses droits. Cette démarche n’arrangeait pas l’avocat. Il lui fallait « casser les ailes » de Laurent Ridet. Le réduire à néant. C’est ainsi qu’il  a fait  détruire dans la précipitation et surtout dans la pénombre aux environs de 18 H la maison de Laurent Ridet. Le bulldozer a broyé: livres, lits, chaises, matelas, armoires à vêtements, congélateur, gazinières.. Sur ce point maître Serge Effi n’a pas respecté la loi. Paradoxalement il a continuer sans vie tranquillement sans vivre les rigueurs de la loi. Seul le machiniste a été mis aux arrêts!

Notre Avocat Maître Likane lui demande « qui a fait détruire la résidence de Laurent Ridet ? ». En réponse L’avocat Serge Effi se livre à son jeu habituel : le mensonge : «  Ce n’est pas moi qui ai détruit la résidence. Je n’étais pas au volant du bulldozer. J’étais à Abidjan. La maison a été détruite suite à une décision de justice ».

La réponse de l’avocat est une «  falsification » de la réalité des faits. D’une part le conducteur de l’engin, une fois mis au aux arrêts sur l’injonction du ministère de la justice, a expliqué avoir été mis en mission par Maître Serge Effi. Les Procès verbaux des auditions sont disponibles. Entre temps Serge Effi qui suivait les opérations à partir d’Assinie à pris la poudre d’escampette quand il a constaté que la situation tournait au vinaigre et qu’il pouvait être mis aux  arrêts

D’autre part, la décision du tribunal est disponible. Il n’est nulle part mentionné sur la grosse qu’il autorisait Maître Serge Effi à détruire la maison. Il est précisé « Expulser ».

Suivre Mme la procureur et nous  condamner à un an d’emprisonnement parce que nous avons relaté sur les réseaux sociaux le comportement « Hors-la-loi » d’un avocat qui fabrique des faux papiers pour exproprier une communauté familiale sera un témoignage de vie.

Ano Nianzou

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Maître Serge Effi a affirmé qu’il ne consultait pas les réseaux sociaux. C’est un mensonge de plus puisqu’il a lui même une page Facebook sur laquelle sa photo trône

Maître Serge Effi et la souris cachée sous la gazinière

Maître Serge Effi a des comportements bizarres qui font penser à une petite souris cachée sous la gazinière. Je ne dis pas que l’avocat est une souris. Observez bien comment  la souris se comporte : pendant la journée, elle  plonge dans un long sommeil, totalement invisible et inoffensive. La nuit, elle devient très active. Elle  travaille beaucoup ; va à gauche et à droite ; grignote la nourriture ; ramasse les emballages, les vieux chiffons, le papier journal pour les entasser derrière réfrigérateurs et congélateurs. A force d’accumuler les détritus, la bête rend sa zone infréquentable à cause de la forte odeur qu’elle laisse dans la cuisine. C’est alors que le propriétaire fait du propre. Que de papiers !

 Serge Effi se comporte comme une souris ; Il ramasse les papiers ; les transforme ; il fabrique de faux documents  en grand nombre afin de s’approprier de ce qui ne lui appartient pas. A la fin du compte, il se perd dans sa paperasse en  affirmant une chose pour dire le contraire par la suite. C’est alors qu’il fut pris au piège de  ses propres  falsifications

 Le 8 mars 2022, je serai à nouveau devant le juge, au tribunal d’Abidjan pour avoir découvert que le célèbre avocat de l’inconnu avait transformé son cabinet en officine de production de faux documents, pour délester sa collectivité familiale de toutes ses terres

Les fables de Lafontaine , version Ano Nianzou

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Comment je suis devenu fou ?

Quand je me rendais à la CIE de Cocody Cité Mermoz le mardi 23 mars 2022, je ne me rendais pas compte un instant que la mauvaise qualité du service client allait m’entraîner dans la folie.

Je suis arrivé dans les locaux à 9h30. Mon électricité avait été coupée la veille parceque je n’avais pas réglé la totalité de ma facture. Elle était importante. 200805FCFA. Je ne fabrique pas d’eau en sachet. Je n’ai pas de maquis dans l’arrière cour. Je ne suis pas un distributeur clandestin de courant dans mon quartier. Le matin en consultant mes messages, j’ai lu que la CIE me donnait 48 h pour régler ma facture. Ensuite il y a eu un autre message : «  La distribution  du courant était suspendue dans mon quartier pour des travaux sur le réseau électrique ». Après la lecture des 2 messages le courant a disparu dans ma demeure.

Le vigile m’a tiré un ticket de la machine. Mon numéro était « CIE B 00162 ». Avec ce ticket je vais attendre de 9H à 17 H. Tantôt assis ; tantôt debout ; tantôt dans les toilettes, tantôt dans la ruelle adjacente pour acheter de l’eau, des galettes, des oranges pour tenir debout dans l’enfer bureaucratique de la CIE. Souvent j’entendais les cris d’une explosion de colère de personnes épuisées par les longues heures d’attente. Fatiguées de rester assises, elles hurlaient de colère, bousculaient les vigiles et tentaient une entrée en force dans le bureau. Puis le calme revenait. Le temps passait. Une autre explosion de colère s’annonçait. Ainsi de suite.

11h30 ; 13h30 ; 14h30 ; 15h30, 16h30, 17h30. J’ai enfin payé ma facture. Je n’étais pas au bout de ma peine. Il restait une nouvelle queue à faire pour avoir « mon code » qui permettait d’avoir la lumière. J’ai encore attendu. Le code m’a enfin été remis. Je ne savais pas comment l’utiliser. J’ai demandé à la jeune stagiaire qui les distribuait de m’expliquer comment faire. Elle m’a répondu que je devais aller rencontrer la patronne pour avoir les renseignements. Je suis allé voir le vigile pour lui exposer mon cas. Il m’a répondu que la patronne était occupée et que je devais attendre. En même temps je suis devenu fou et je me suis mis à crier de tout mon saoul : « CIE voleur ! » : je devais 105 345 FCFa. Mais la caissière m’a fait payer 133 500 Fca. « CIE désordre, bordèle ». J’avais perdu la tête. Je criais ; je gesticulais ; je  prononçais des paroles incohérentes. A ce moment là, une dame est sortie me prendre la main et me conduire dans une salle. Elle a pris ma facture, a taper le code sur son ordinateur. Le courant est arrivé dans ma maison.

Une fois chez moi, j’ai regardé mon numéro de série « B00162 ».  Elle portait ceci : « Il y a 181 personnes avant vous. Votre temps d’attente est de 8 heures(8) 6 Min » le temps nécessaire pour faire un Abidjan-Paris avec un stop over à Cotonou !

Ce témoignage sur mon vécu à la CIE, m’amène à la question suivante : Comment un service est si désorganisé de manière a annoncer a ses clients qu’ils vont devoir attendre 8 heures d’affilé devant leurs caisses ? Ce n’est pas du management.

Ano Nianzou

L’affaire maître Serge Effi.

Maître Serge Effi sur un bulldozer perché, fit détruire dans la pénombre aux environs de 18 H, la maison de Mr Laurent Ridet. Celui-ci de souffrance infligé décéda par la suite d’un accident de moto.

L’histoire n’est pas une fable. Maître Serge Effi, de colère piqué, m’a adressé par huissier une “citation directe correctionnelle suivie de dénonciation au procureur de la république avec constitution de partie civile”. La première audience a eu lieu le vendredi 11 mars 2022. la seconde est fixée au vendredi 25 mars 2022. Une fois à la barre, Maître Serge Effi a demandé au juge “d’accélérer le jugement afin que je ne puisse publier de nouveaux témoignages “sur l’affaire de Maître Serge Effi qui a détruit la maison de Laurent Ridet”.

L’honorable juge a simplement répondu que l’avocat devait faire un règlement de 50 000 F au greffe avant que le procès ne débute réellement étant donné que la plante vient de lui. Il a aussi précisé que le jugement prendra le temps qu’il faudra. C’est déjà un pas : le procès ne sera pas expéditif comme le souhaite Maître Serge Effi

Ano Nianzou

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Maître Serge Effi: des lacunes

L’illustre avocat de « la casse », cite pompeusement et triomphalement  deux  articles de loi datant des  27 décembre 1917 et 26 juin 2019. A ces moments là, ni sa génitrice, Mme Ebagninin Tahïba, ni lui-même n’étaient encore nés (1930 pour la mère et 1968 pour Serge Effi). La citation de ses deux articles qui datent de mathusalem, montre que le monsieur  l’avocat de « la casse » a certainement une expertise dans la destruction des biens d’autrui, mais non en droit : la loi sur la presse a évolué avec les réseaux sociaux. A l’époque, il n’y avait pas Face book, Whattsapp etc… Maître Effi Serge  gagnerait à se recycler.

A la lecture de la «  citation directe de correctionnelle suivie de dénonciation au procureur de la république… », Maître Serge Effi ne nie pas avoir détruit la maison de Feu Laurent Ridet. Il me  traduit devant le tribunal parceque, écrit-il : « Je me suis permis de parler de son affaire sur ma page Face Book dans le souci de le diffamer et calomnier ; en conséquence, il demande au procureur de me condamner au payement d’une peine d’amende qui va  de 1 million à 3 millions et d’un emprisonnement de 1 an  à cinq ans. »

Si je comprends bien l’esprit tortueux du jeune avocat Serge Effi, Monsieur le Procureur de la république a pour mission de protéger et couvrir ses élucubrations et ses mauvaises œuvres. Il a détruit le bien de Feu Laurent Ridet : motus bouche cousu sur le sujet ; secret de famille ! Aucune loi ne condamne une personne qui donne une information précise et juste sur un sujet de société. Si un instituteur viole une écolière, si un gynécologue abuse de sa patiente, si un ministre vole un mouton, si un enfant est enlevé par un sorcier ou un marabout, l’on ne peut cacher ces formes de dérives sociales sous le prétexte de « nécessité de protéger une corporation » A cet effet, un compagnon de mon groupe de prière a vécu le fait suivant : sa cousine est tombée amoureuse d’un bel homme qui l’a invitée dans un hôtel. Ils ont mangé. Le charmant garçon a mis un puissant somnifère dans la boisson et la nourriture. La dame s’est profondément endormie. Au moment de faire les chambres, le garçon de ménage découvre, une femme sans vie baignant dans son sang. Le médecin légiste a découvert que le cœur de la fille avait été arraché au scalpel. Son compagnon du moment avait quitté l’hôtel en catimini après l’accomplissement de son œuvre macabre. Mon ami s’est battu comme il le pouvait afin que la lumière soit faite sur le drame par les autorités judicaires. Il lui fallait beaucoup d’argent pour les recherches. Les enquêtes ont conduit à Divo, ensuite à Fladougou ( Flatchèdougou ?) sur la route de Bouna. Puis silence sur le dossier. S’il y avait, à l’époque, cette puissance incontournable des réseaux sociaux, l’affaire ne se serait pas terminée en queue de poisson. Par mes articles et cela depuis une soixante d’années je fais de mon mieux pour tirer la sonnette d’alarme.

Je serai donc présent ce jour, vendredi 11 mars 2022 devant la justice de mon pays pour m’expliquer sur l’affaire Laurent Ridet

Merci à tous ceux qui prient pour les victimes de l’injustice et des folies meurtrières.

Ano Nianzou

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