
Une tenue exceptionnelle pour un mariage

Au cœur du village d’Anono entre l’église catholique et le ” Rond point de l’Eléphant” se trouve un petit restaurant géré par un jeune couple. Le foufou-banane à la sauce claire est conseillé
Dès que les travaux du chantier mystérieux ont commencé, puisqu’il n’y a pas de panneau qui indique son objet, nous avons constaté qu’aucun dispositif de sécurité n’a été prévu pour protéger les ouvriers eux-mêmes ainsi que les passants. Nous avons fait une publication sur le sujet.
Puis les mois qui ont suivi un jeune Béninois qui travaillait sur le chantier, est tombé du 7ème étage. Il meurt sur le coup du fait que notre SOS lancé aux bâtisseurs de l’immeuble n’a pas été pris en compte
La police est venue faire les constats d’usage. Le chantier a été arrêté quelques jours. Depuis le jeudi 16 juin 2025 le travail a repris sur le chantier sans pour autant que les conditions de sécurité soient prises en compte. Les photos que nous avons faites le vendredi 20 juin 2025 montrent toujours que les ouvriers travaillent dans des conditions épouvantables.
Des milliers de personnes ont envahi Bonoumin . Le patriarche Laurent Gbagbo devait s’y rendre pour la réunion du Comité Centrale le samedi 26 avril 2025 qui avait lieu au nouveau siège du PPA-CI
Que retenir de cette allocution ?
La première idée porte sur le renforcement et la consolidation de la démocratie par deux actions :
Ne pas laisser mourir les partis politiques
Aider les partis politiques à grandir et n’en laisser mourir aucun : « Nous sommes pour des ivoiriens libres. Nous sommes pour que les Ivoiriens s’organisent dans les partis de leur choix. L’existence de ceux qui ne pensent pas comme nous est une condition de notre existence ; c’est pourquoi nous ne laisserons pas mourir le PDCI et cela sans contrepartie. Nous allons leur apporter notre soutien sans rien leur demander en retour parce que la conviction politique n’est pas un troc »
Eveiller les consciences
Eveiller les consciences non seulement en se plaignant d’un quotidien difficile, mais en agissant :« Les maisons sont cassées, les gens sont mal payés ; la vie est trop chère : la viande le riz , l’attiéké, l’huile tous ces denrées alimentaires sont trop chers ; on prend les terrains des gens, on s’approprie de leurs forets ; les enfants finissent les études sans trouver de travail.
Le patriarche conclut : « On ne peut pas continuer dans la gadoue ; les pieds dans la gadoue ; ce n’est pas possible ; trop c’est trop
La deuxième idée est une question : Que faire pour sortir le pays de la gadoue… du poto-poto ?
La situation sociale est délétère. Les sentiments largement partagés ne rassurent pas. Les militants du PPACI vont-ils prendre la rue pour exprimer leurs souffrances ?
Le patriarche Laurent Gbagbo répond : « Ce n’est pas quand ton adversaire t’attend au coin de la rue avec un bâton…On ne va pas là-bas »
Le patriarche écarte le chemin de la violence. Que propose-t-il ?
Laurent Gbagbo propose deux voies :
« Trop c’est trop » qui est mouvement global d’expression de la colère. Sa mise en place revient au Ministre Dano Djedjé
« La porte ouverte » : Le patriarche ouvre sa porte à toutes les personnes qui veulent discuter avec lui sur les conditions d’une élection présidentielle sans violence en 2025
Ano Nianzou
Fleur Akimbo la candidate à la députation qui a croisé le fer avec Adama Bictogo était présente
Nianzou Ekpalé fait partie des membres de la commission digitale. Il est présentement sur le terrain à Bassam
Bassam le vendredi 25 octobre 2024
Les N’zima sont un peuple très ouvert au métissage culture avec un sens poussé de l ‘acceuil ; cette vision du monde tournée vers l’acceptation de l’autre transparaît dans les festivités de l’Abissa. Tenues vestimentaire loufoque. Visages illuminées de sourire en permanence , convivialité , repas et boissons pantagruelesques.Consultez nos sites Internet www.anonianzou.com/ www.lamodevivante.com/ Contact anonianzou841@gmail.com/ 07 08 42 78 48 de
Le son lourd du tam-tam annonce à Grand Bassam l’ouverture de l’Abissa. Baassam est la source qui conserve les fondamentaux du peuple N’zima