Edito de ANO NIANZOU
On peut s’appeler “Service COMMUNICATION” On peut être Ano Nianzou, Willy BLA et bien d’autres autour de la planète . Aimer le président Laurent Gbagbo pour son idéal de lutte politique. Etre des combattants de la plume , multicolores , blancs noirs , jaunes et travailler au labourage pour une Côte d’Ivoire démocratique. C’est le plan du président Laurent Gbagbo. Il a fait sa part en payant au prix fort la liberté pour son pays. Il demande à chacun de nous, de le suivre. Il est en train de mettre en place un nouveau parti ouvert à tous. Je ne comprends pas comment dans ces condition certains sous la bannière d’un logo “Service communication” affutent leurs armes pour combattre leurs frères. je ferme la parenthèse sur ce point et revenons à l’essentiel
Laurent Gbagbo connait son pays dans les moindres détails. Quand un problème se pose, il va en faire l’historique. Comme pour les WE .” En 2005 déjà, explique-t-il, quand j’étais aux affaires, j’étais en Angola, je partais pour le Rwanda, quand on m’a annoncé que des massacres avaient eu lieu à Duékoué. Après ça, il y a eu les événements de 2010-2011 où ce peuple là encore a payé un grand prix. Des morts, des morts, des morts. Ce que nous devons rechercher , c’est la fin de ce cycle de morts politiques. On doit pouvoir faire la politique sans qu’il n’y ait de morts. C’est pourtant facile à comprendre mais beaucoup ne le comprennent pas. Le coûte que coûte n’existe pas en politique”
Après l’historique , il montre comment sortir du guêpier:” Ce que nous devons rechercher, c’est la fin de ce cycle de morts politique. On doit pouvoir faire de la politique sans qu’il y ai des morts…”
De la stratégie du contournement du cailloux, le célèbre prisonnier de La Haye, nous sensibilise en demandant à chacun “de faire de la politique sans qu’il y ai des morts”
Ano Nianzou Conseiller du président Laurent Gbagbo
pour la documentation et Internet