Parti à Daoukro le vendredi 9 juillet 2021, je suis revenu à ma base à Abidjan le lundi 12 juillet 2021. Le dimanche 11 juillet, les deux présidents se sont à nouveau rencontrés à Bedié-kro, c’est-à-dire le campement de Bédié. Son village. Son origine. Cette rencontre était fermée à la presse. J’ai fait analyse sur analyse pour voir si je ne pouvais pas rôder dans les environs de Bédié-kro pour jouer au paparazzi. Tout compte fait, j’ai respecté les consignes. Emprunter un taxi-brousse pour faire 45 Km. Se cacher dans un maquis du village. Faire le gué. C’était difficile après la longue journée d’attente du dimanche à la résidence d’Henri Konan Bédié. J’y suis arrivé à 10h pour ne repartir qu’à 19 h.
J’avais bien fait d’adopter la position du flemmard. Une fois sorti du lit, je me suis rendu dans un kiosque à café pour prendre le petit déjeuner : du pain fendu avec œuf au plat et margarine à l’intérieur. Je voulais du lait non sucré. L’homme du kiosque n’en vendait pas. J’ai visité la ville : le restaurant-maquis, le salon de coiffure, la paroisse. Le curé était absent. Le vicaire, un jeune séminariste m’a bien accueilli. Mais il ne m’a donné les informations qui m’intéressaient. Il s’est excusé et m’a demandé d’attendre l’arrivée du père curé.
9 Kilo, Cité Allabra réconciliation : que de souffrances ! Les fortes pluies en ces mois de juin-juillet ont replongé les habitants dans la souffrance. Il est vrai, le niveau d’inondation de Juin-juillet 2018 n’a pas été atteint. Il n’y a pas eu de personnes emportées par les eaux, mais les pluies diluviennes ont cassé des clôtures et pénétré dans les domiciles mettant à sac les biens des habitants. Quelques locataires venus nouvellement s’installer dans le quartier, ont abandonné les maisons qu’ils venaient de louer. L’histoire de ces inondations devenues récurrentes d’une année à l’autre montre le manque de professionnalisme des hommes d’affaires qui obtiennent ces gros marchés de l’état. Ils se chiffrent en milliards. Cependant une fois le chantier achevé, se dévoile l’amateurisme des entrepreneurs. Rien n’a changé. L’eau contourne les caniveaux devenus subitement trop petits et s’écoulent dans les maisons. Pourtant des résidences ont été préalablement détruites sous le prétexte qu’elles barrent le passage des eaux pluvieuse. Depuis les grandes inondations de 2018, 2020 les populations attendent un minimum d’aide du pouvoir. Mais en vain !
Les fortes pluies en ces mois de juin-juillet ont replongé les habitants dans la souffrance. Il est vrai, le niveau d’inondation de Juin-juillet 2018 n’a pas été atteint. Il n’y a pas eu de personnes emportées par les eaux, mais les pluies diluviennes ont cassé des clôtures et pénétrées dans les domiciles mettant à sac les biens des habitants. Quelques locataires venus nouvellement s’installer dans le quartier, ont abandonné les maisons qu’ils venaient de louer.
L’histoire de ces inondations devenues récurrentes d’une année à l’autre montre le manque de professionnalisme des hommes d’affaires qui obtiennent ces gros marchés de l’état. Ils se chiffrent en milliards. Cependant une fois le chantier achevé, se dévoile l’amateurisme des entrepreneurs. Rien n’a changé. L’eau contourne les caniveaux devenus subitement trop petits et s’écoulent dans les maisons. Pourtant des résidences ont été préalablement détruites sous le prétexte qu’elles barrent le passage des eaux pluvieuse. Depuis les grandes inondations de 2018, 2020 les populations attendent un minimum d’aide du pouvoir. Mais en vain !
Les fortes pluies en ces mois de juin-juillet ont replongé les habitants dans la souffrance. Il est vrai, le niveau d’inondation de Juin-juillet 2018 n’a pas été atteint. Il n’y a pas eu de personnes emportées par les eaux, mais les pluies diluviennes ont cassé des clôtures et pénétrées dans les domiciles mettant à sac les biens des habitants. Quelques locataires venus nouvellement s’installer dans le quartier, ont abandonné les maisons qu’ils venaient de louer.
L’histoire de ces inondations devenues récurrentes d’une année à l’autre montre le manque de professionnalisme des hommes d’affaires qui obtiennent ces gros marchés de l’état. Ils se chiffrent en milliards. Cependant une fois le chantier achevé, se dévoile l’amateurisme des entrepreneurs. Rien n’a changé. L’eau contourne les caniveaux devenus subitement trop petits et s’écoule dans les maisons. Pourtant des résidences ont été préalablement détruites sous le prétexte qu’elles barrent le passage des eaux pluvieuse. Depuis les grandes inondations de 2018, 2020 les populations attendent un minimum d’aide du pouvoir. Mais en vain !
Ano Nianzou .Post du 16 juillet 2021
Rien n’a changé. L’eau contourne les caniveaux devenus subitement trop petits et s’écoule dans les maisons. Le quartier Allabra Réconciliation offre l’image d’une ville en guerre. Les habitants ont investi dans l’achat de sacs de sable pour protéger murs et portails
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Je m’appelle Badois Odile. Je vends des produits de santé. Surtout de la pulpe d’aloès qui contient trois grands produits essentiels. Ces différents produits nettoient, regénèrent et stimulent
J’ai commencé a écrire un livre sur mes voyages dans mon pays: les personnes que je rencontre , leurs comportements et surtout ce que je retiens d’elles. Leurs propos et leurs façons de faire me paraissent surprenantes. Mais je me comprends. Je vis enfermé dans une bulle sociale de sorte que des situations totalement “normales” paraissent anormales sous mon regard
“Pied de mouton n’est bon” m’a été inspiré par le quotidien dans une gare routière
J’ai fini mon reportage sur Daoukro. J’ai préféré passer une troisième nuit à l’hôtel et quitter la ville par le premier car qui démarre à 6 h30.
La veille j’avais hélé un taxi pour lui demander de venir me chercher à 6h a mon hôtel. Il a non seulement acquiescé mais il m’a donné l’assurance d’être stationné devant l’hôtel des 5 H du matin. A l’heure dite, j’ai sorti mes valises, le chauffeur n’était pas là. Après une trentaine de minutes d’attente, j’ai emprunté un autre taxi pour me conduire à bon port.
Des jeunes « chargeurs » se débattaient pour embarquer un bélier de dimension impressionnante dans le volumineux coffre du car : « Mouton là est trop musclé. Si tu prends son pied c’est pas bon ». Chacun a compris le message et s’est éloigné du bélier. Il y a des scènes dramatiques où bœufs et montons se soulèvent, brisent les cordes et pourchassent les passants, provoquant des accidents graves. Quand ces cas se produisent le propriétaire de l’animal prend la poudre d’escampette pour éviter les tracasseries policières et administratives. Un mouton n’a pas d’assurance !
Je me suis installé sur un siège prêt de la vitre. Je pouvais voir villes villages et campements. Une maman d’un certain âge s’est assise sur le siège collé au mien. Très autoritaire, elle a exigé que je range bien mes jambes à ma place afin qu’elle puisse elle aussi s’installer confortablement sur son siège. J’ai suivi ses désidératas. Elle avait raison. Il est normal que chacun respecte les normes. Tout allait bien durant les trente premières minutes du voyage. Puis elle a plongé dans un profond sommeil. Du coup mon épaule est devenue son oreiller. J’étais pris en sandwich entre la vitre et la dormeuse. J’ai beau secoué mon épaule, poussé sa tête, la dormeuse dormait à l’aise. Deux heures plus tard, un coup de frein sec du car, a coupé son sommeil : « On est déjà arrivé à Abidjan ? M’a-t-elle demandé »
J’étais en colère. Un peu courbaturé par ma position inconfortable. Je ne lui ai pas répondu.
Un passager avait un besoin pressant : « Chauffeur, il faut arrêter. Je veux faire pipi ». Le conducteur a fait la sourde oreille. Il a renouvelé à haute voix sa demande. Pas de réaction du côté du conducteur. Cette fois le demandeur s’est levé de son siège pour aller vers le conducteur : « Mon petit tu conduits ambulance ou quoi ! Depuis je dis que je veux faire pipi tu ne t’arrêtes pas. Si je pisse dans ton car, tu vas dire quoi ? ». En fait tout le long de la ligne Daoukro-Abidjan, il n’est prévu qu’une seule pause-pipi à la sortie d’Adzopé non loin du barrage des forces de l’ordre. Les véhicules s’y arrêtent pour les contrôles de routine. C’est aussi l’occasion de remettre une petite contribution participative aux agents des forces de l’ordre. C’est un rituel. Pendant les tractations et conciliabules entre conducteurs et forces de l’ordre, les passagers descendent du car pour aller dans la broussaille.
Collé à la vitre, je regardais le paysage. Chaque village, chaque campement avait sa réplique. Si l’on traverse Kotobi1, le Kotobi des vivants, on passera nécessairement par Kotobi2, qui est le cimetière. Apparemment, les morts ne veulent pas vivre dans l’éternité loin des siens et de leurs maisons. Pour le reste du voyage, ma voisine réveillée, a poussé un ouf de soulagement : « Le petit sommeil que j’ai eu a fait que le voyage n’a pas été long. ». J’avais envie de lui dire que le voyage a été pénible pour moi parceque j’ai porté son poids sur mon épaule gauche, de ce fait, je descendrai du car une partie de mon corps endolorie. Il nous restait une bonne heure de route. Elle a sorti de son sac son téléphone portable pour me montrer la photo de son père : il venait d’avoir 90 ans. Il continuait de se déplacer à vélo pour se rendre à la plantation. Elle a terminée son histoire par la mésaventure que son vieux a eue: toute sa récolte d’igname produite a été chapardée par des gens de mauvaise moralité. Le vieux n’a rien dit. Il a simplement confié les auteurs du vol à Dieu. J’ai répondu Amen et je me suis assoupi. C’est à la grande gare d’Adjamé Renault que me suis réveillé. Je me suis aussitôt précipité vers les coffres à bagages. J’ai récupéré mes deux valises bleues. L’une contenait le matériel technique de prise de vue. L’autre, mes vêtements. Un jeune, les a chargés dans sa brouette. Il m’a trouvé un taxi. Parti de Daoukro à 6h30 je suis arrivé à la maison à 13 h.
Il y a eu en juin 2021 une exposition vente de livres sur la religion dans la grande cours de la paroisse de la Sainte Famille de la Riviera2. Les paroissiens avaient le choix entre livres de contes et des ouvrages écrits par les prêtres
Lors de l’expo-vente à la paroisse de la Sainte famille de la Riviera2, en juin 2021, Mme Badois Odile Annie a présenté ses produits sur la santé. Ils sont fabriqués à base d’aloès. C’est une plante qui a de nombreuses vertus: nettoyer, rajeunir et stimuler le corps
Lors de l’exposition qui a eu lieu en juin 2021 dans la cours de la Sainte Famille de la Riviera2, j’ai rencontré une jeune dame, Elisabeth Manda. Elle commercialise du Thé pour l’entretien du corps , des fleurs pour l’adoration de la Vierge Marie et pour la décoration des lieux de prière. Elle a aussi le secret sur la fabrication des jus et fruits naturels
Je suis très ému. Au départ, je ne voulais pas faire de politique. Mais est-ce-que Laurent Gbagbo va rencontrer le président Henri Konan Bédié sans que ce ne soit pas de la politique ? Est-ce-que le parcourt que j’ai fait, je peux prendre la parole en Côte D’Ivoire sans que se soit la politique? Donc je fais de la politique. J’ai prévu de parler à un moment que je parlerai