Nous félicitons Lou Rebecca
Lou Rebecca et Ettien se sont mariés le samedi 2 avril 2022. Ce moment aurait regroupé en temps normal au moins 500 invités. Cela n’a pas été le cas parceque Ettien prenait l’avion juste après. Nous qui suivions la mode de près pouvons affirmer que la robe de la nouvelle mariée était l’une des plus belles en ce début d’année 2022. Belle au niveau de la qualité du tissu. Parfaite au niveau de la coupe et de la couture. Surtout Rebecca avait de la prestance et brillait de beauté
Reportage de Sonya Gbelet. Contact +225 0708427848
La remise du livret de famille
Le maire a vivement félicité le couple qui pourtant n’avait pas pu respecter l’heure de la cérémonie parceque le timing était serré
La mode vivante est anonyme
Les personnes qui apparaissent sur nos photos sont des anonymes. Elles ne sont pas des mannequins. Nous choisissons des modèles de notre quotidien . Nous faisons un tri entre plusieurs ensembles et nous choisissons le vêtement qui accroche.
La mode “scout” de la PCO n’est pas passée inaperçue
Une tenue qui donne beaucoup de personnalité et du caractère: le béret bleu
La beauté n’a pas d’âge
Cette mamie est vraiment belle: bien coiffée, un ensemble taillé dans un tissus riche. Qui a dit que la beauté avait un âge et un temps?
Olivia Yacé : notre Miss monde
Nos frères au pouvoir présentement sont obnubilés par le progrès « par les routes ».Pour le reste on verra plus tard quand on aura fini de payer les milliards et milliards de dettes engrangées pour le bitume en patte d’arachide. Sur ce sujet les Ivoiriens ne manquent pas d’humour. Ils ont une phrase qui, comme une chanson fait fureur : « On ne mange pas goudron » !
Dans l’attente, tout ce qui touche aux arts et lettres ; ce qui concerne la recherche, les universités, la mode, sont renvoyés aux calendes grecques. C’est dans cette ambiance de « je manque de tout mais je marche sur du goudron biodégradable » que Olivia Yacé, la fille du célèbre Karatéka de Cocody, s’est imposée sur le podium du summum de la beauté féminine universelle. Du coup plus que jamais, on se souvient de l’extase de Léopold Seder Senghor devant la beauté de la femme africaine : « Femme noire, femme nue vêtue de ta couleur qui est vie, de ta forme qui est beauté, j’ai grandi à ton ombre, la douceur de tes mains bandait mes yeux »
Tout est accompli pour la femme noire.
Ano Nianzou