Voici la photo que Maître Serge EFFI a lui-même publiée sur sa page d’accueil Facebook; pourtant il affirme devant le juge “ne pas consulter le réseau social Facebook”
« Maître Serge Effi m’ a déçu à tel point qu’il apparait dans mes cauchemars sous la forme d’une sorcière cachée sous le pagne de sa mère. Tous les deux en train de faire des incantations pour m’arracher la vie. Je revois donc le fétiche contenu dans une bouteille placée devant ma maison. Du coup je me réveille en sursaut. » C’est Buitruille Michel qui m’explique toute les difficultés qu’il vit dans sa maison située à Krowasuazu. Un terrain qu’il a reçu des mains de sa tante Maman Ekpalè Adjo. Il a construit sa maison où il habite depuis une quarantaine d’années. Tous ses enfants ont grandi dans cette maison en bois, entouré de chevaux et de perroquets multicolores. Tout allait bien. Sa tante décède. Elle est inhumée au cimetière de Assinie –Sagbadou le 28 mai 2010. Alors commencent ses ennuies. La gestion des biens de la communauté familiale est confiée à la mère de Serge Effi, Mme Tahiba Ebagninin. Cette dernière, tout comme maman Ekpalè Adjo, est la tante de Buitruille Michel. L’avocat fait un calcul mental qui se résume en ceci : sa génitrice à 91 ans. Elle peut à tout moment partir. Pour parer à cette éventualité il transforme son cabinet en officine de fabrications de faux papiers lui permettant d’hériter de l’ensemble des biens de la communauté familiale. C’est dans ce plan machiavélique qu’il ira détruire la maison du professeur Laurent Ridet. Ce dernier finira sa vie dans un accident de moto ; Mâitre Serge Effi accompagné de sa génitrice iront ensuite casser les bancs d’un autre résident Mr Benini ; entre tous les actes de non-droit de l’avocat, il faut citer les faits suivants : il a conduit le chef du village d’Assinie-Sagbadou, Nanan Yvon Bagnintchi devant le tribunal d’Adieké ; la récupération de la cour familiale à son seul profit au détriment de tous les ayants-droit de Maman Ekpalè Adjo.
Notre pays souffre. On se « cramponne » sur le racket des policiers sur les routes et dans les commissariats ; les petits garçons qui ont faim et qui se transforment en criminels. Mais il y a aussi d’autres phénomènes sur lesquels l’affaire Sege Effi nous conduit : bon nom de notaires sont devenus des bandits de grands chemins. Ils encaissent des sommes mirobolantes qu’ils doivent reverser aux ayants droits. Ils ne le font pas. Les ayants-droit restent désemparés et affamés. Ce n’est pas normal. Dans le milieu de la profession noble des avocats, on rencontre de plus en plus des hors-la-loi et des brouteurs comme Serge Effi. Son cas est grave ! Ils se prennent pour les hommes forts des villages et détruisent les maisons des gens. Ils devraient être à la MACCA. Mais il affirme ceci : « j’ai eu une décision de justice pour expulser Laurent Ridet ». Nous avons la décision entre les mains. Elle ne mentionne nulle part que la maison du professeur Laurent Ridet doit être détruite. Avec tout le respect que nous devons à Mme le procureur qui a requis un an de prison contre mon frère et moi pour diffamation, nous estimons que le droit risque d’être bafoué. Parceque tout ce que nous avons publié sur Serge Effi, sont des faits précis appuyés sur des preuves. Ce n’est pas de la diffamation. Pour les semaines qui suivent, nous allons ouvrir le débat en profondeur sur le réseau social afin que chacun comprenne que nous n’avons pas diffamé Maître Serge Effi.
NB : Serge Effi a affirmé devant le juge « qu’il ne regarde pas Facebook » . C’est du mensonge puisque nous avons découvert le contraire : il possède une page face book qu’il a tenté d’effacer :https//.facebook.com/1041115487/post/10225394081932607/ ?d=n&mibextide=ZaZkta
Ano Nianzou