Barack Obama, Hillary Clinton des personnalités avec des habitudes bizarres. Pour elles, tous les moyens sont bons pour atteindre l’objectif. On peut réécrire son histoire. On peut utiliser la violence contre quelqu’un qu’on n’apprécie pas. On peut faire du chantage pour déboulonner une personnalité qui gène. Pour sa campagne à l’élection présidentielle de novembre 2008, Barack Obama est devenu soudainement plus Kenyan que les Kenyans eux mêmes. Une manière d’avoir de son côté la communauté noire des USA. Toute l’Afrique est prise dans le piège de l’enfant venu du continent noir pour prendre en main la destinée de la plus grande puissance au monde. Après 8 années à la maison blanche nul ne peux dire ce que le président américain a apporté à ses frères et cousins africains a part le drapeau étoilé que les jeunes arborent fièrement sur leurs TS.
Hillary Clinton. En terme de démocratie, on lui donnerait le bon Dieu sans confession. Pourtant dans la crise ivoirienne les émergents lui sont reconnaissants. Elle les a encouragés et porté à bras le corps ceux qui piétinaient sauvagement la démocratie. Chacun se souvient de cet appel téléphonique émanant de la Maison Blanche exigeant de Laurent Gbagbo de choisir entre l’exil et la mort. Soit le président accepte un poste de professeur dans une université américaine soit l’armée de l’Otan et celle de l’Onu le trucide. Laurent Gbagbo ne s’est pas laissé prendre dans la grande mystification. Il a dit niet! Aussi n’est-il pas étonnant que l’Amérique sombre dans la déchéance démocratique par la faute d’une minorité de bonimenteurs . Post de Ano Nianzou , vendredi 9 décembre 2021
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