Dans les quartiers périphériques d’Abidjan les électriciens de circonstance sont nombreux. Ils colmatent , branchent le courant électrique dans tous les sens sans tenir compte des règles élémentaires de sécurité.
On ne trouve pas de poissons sur le marché d’Adieké. Pourtant la ville est située en bordure de lagune. Où sont passés les poissons ?
Il vous faut par moment être capable de dire non à tous ceux qui vous font croire qu’ils ne peuvent vivre sans vous. Même le nouveau-né qui se retrouve sans sa génitrice vit. Sans prôner l’égoïsme et le repli sur soi, vous devez vous imposer des temps de repos.Du temps pour dormir. Du temps pour penser à vous même. Du temps pour se sentir bien “soi-,même “. Il ne faut pas grand-chose pour cela !
L’ Anglais qui est parlé dans le haut parleur de l’aéroport d’Abidjan est particulier. C’est la personne qui diffuse le message qui sait de quoi il parle ! Nous avons aussi constaté que le téléphone du service information qui donne des renseignements sur les départs et arrivées des vols est défaillant. On n’entend rien. Enfin les chariots sont épuisées sous le poids des bagages…
Alex et moi, habitions dans le même village où Dieu nous a regroupés : Eghazu au Ghana après le 11 avril 2011. Depuis il s’est installé à Londres .Nous nous sommes retrouvés le 19 juillet 2024 à Port-Bouet
Comment gagner sa vie sans tendre la main ? La réponse est la suivante. Vendre de vieux caleçons dans une brouette au marché d’Adieké.Il n’y a pas de sot métier et son affaire marche
Il a résidé longtemps en Italie. Quand l’âge de la retraite fut arrivé, il est revenu au pays oû il s’est installé à Bassam dans son magasin-musée.Il fait de la brocante et de la musique. Chacun de ses cartons contient des objets usuels et rares. A vous de prendre le temps de les découvrir.
Il ramasse les pneus usés des tracteurs et catarpillars. Il les découpe à la main et fabrique des sylindres blocs pour les voitures. Son atelier est situé sous le feuillage des heveas à Adieké.
