La question de la gifle

La question de la gifle. Si on la prend dans son sens le plus commun et simple, elle devient” si tu me gifles je tend l’autre joue pour un autre “Kata”.. Selon l’approche de père Foly, la gifle que tu reçois ne doit être acceptée comme un poison, un affront qui détruit en toi toutes les valeurs humaines que Dieu à mises en toi. Au contraire relève-toi et dis-toi que “celui qui t’a giflé” a de sérieux problème et qu’il a besoin de l’amour de Dieu. Tend lui la main et pardonne.

Père Sylvain Kouassi du Saint Nom de Jésus

La plus grande maîtrise de soi est celle qui dompte notre langue…

La plus grande maîtrise de soi est celle qui dompte notre langue car de la même bouche sortent à la fois des paroles de bénédictions et de malédictions, de gentillesse et de méchanceté, de vérité et de mensonge, de douceur et de colère, etc. .Le chrétien ne doit avoir que des paroles bienveillantes. Celui qui parvient à dompter sa langue saura conduire parfaitement sa vie. Telle est la recommandation de Jacques 3,1-10.Dans Marc 9,2-13,la demande de Pierre de dresser trois tentes lors de la transfiguration du Christ pourrait revêtir plusieurs sens, autres la joie des apôtres d’être les témoins oculaires de cet événement inouïe: l’authentification de Jésus comme Fils de Dieu. Lorsque Dieu se révèle à l’Homme, cette expérience devient pour ce dernier source d’une joie immense à transmettre partout. Que le Seigneur transfigure nos langues pour que nous puissions témoigner de lui.