Pour le prochain procès en diffamation prévu le 4 novembre 2022, nous avons pris attache avec un huissier de justice pour aller constater les abus de l’avocat. Une fois sur le terrain ses « gros bras » les ont violentés et tenté d’arracher et détruire leur matériel de travail. Serge Effi Kokora a même alerté le commissariat mixte d’Assinie sous le prétexte que des individus seraient entrés par effraction dans son domicile pour agresser sa mère.
Maître Serge Effi nous a traînés devant les tribunaux. Il nous accuse, Michel Buitruille et moi de le diffamer. Lors du premier procès, nous avons été condamnés à 3 mois de prison et au payement d’une amende de 3000 000 FCFA. Cette condamnation est des plus surprenantes puisque la nouvelle loi sur la presse N°2017/867 du 27 décembre 2022, « inscrit la dépénalisation des délits de presse, l’exclusion de la garde à vue, la détention préventive et l’emprisonnement ». La condamnation est d’autant plus surprenante que nos publications reposaient sur des faits vérifiables. Nous avons pris soin de prendre des photos des actes inacceptables posés par l’avocat : la démolition de la maison de Laurent Ridet suivi de son décès, le fétiche posé dans le domicile de Mr Buitruille Michel, l’accaparement de biens familiaux communs…
L’avocat produit en grand nombre de constats d’huissier contre nous ; pour autant il entre dans la crise de nerfs quand l’huissier de justice se présente dans la cour familiale, transformée sous ses directives, en chambrettes de passe et maquis-bar, pour faire des procès verbaux de constat de ses abus. « Le renard passe, passe… »
Ano Nianzou
Un groupe d’individus et un machiniste, agissant pour le compte de Serge Effi Kokora se sont servis de ce Caterpillar pour démolir la résidence de Laurent Ridet. Est-ce de la diffamation d’écrire cela ?
Ano Nianzou